Lové, comme le musée du même nom, dans l’hôtel de Guénégaud datant du XVIIème siècle – seul hôtel d e François Mansart demeuré intact – le club de la chasse et de la nature n’est ouvert qu’à ses membres et à leurs invités.
S’y rendre pour déjeuner est une façon agréable de renouer avec l’architecture, les arts décoratifs, la chasse et la peinture animalière.
J’y étais il y a quelques jours et, comme au printemps, la beauté de l’endroit m’a charmée.
Il s’y ajoutait une atmosphère de fêtes: les décorations, quoique discrètes et concentrées à l’accueil ou dans les couloirs de passage, invitaient à la redécouverte de l’endroit.

Malgré mon aversion pour la taxidermie (le fait d’empailler les animaux) je me suis prise au jeu et ai tiré quelques portraits des malheureux habitants de ce lieu…


Enfin, un ours blanc immense a retenu mon attention… Son air redoutable, que son aspect « peluche » pourrait nous faire oublier, est bien retranscrit…
