Un salon de thé traditionnel à Moscou où on peut notamment y manger une pâtisserie ressemblant à un millefeuille, le Napoléon. Très bonne au demeurant!
Je savais que cette adresse avait ouvert au Printemps mais je n’y étais pas encore allée. Un peu comme Meert et sa nouvelle antenne parisienne. J’ai bien l’intention d’y faire un tour pour y savourer à nouveau les célèbres gaufres à la vanille qu’affectionnait le général de Gaulle.
Revenons à notre café…
L’exportation est-elle réussie?
Deux déceptions et demi m’attendaient:
-l’espace dégustation est vraiment petit et les hautes chaises grises sont les unes à côté des autres (au nombre de 6 de mémoire) ce qui ne permet pas un réel dialogue de face, si ce n’est avec la machine à café…
– la décoration un peu kitsche
– la demi déception: point de Napoléon. Mais après quelques recherches sur internet j’ai vu que ce gâteau était mentionné. Il ne devait pas y en avoir le week-end dernier.
Une décoration un peu étrange...
Le choix a été fait d’un positionnement haut de gamme: le prix des pâtisseries avoisine les salons de thé français traditionnels comme Angelina, Carette, Ladurée… Ce qui peut se comprendre vu la situation du café, au rez de chaussée du Printemps de la mode, à côté des sacs de couturier et des montres.
Voyons les points positifs -oui je sais en management on commence toujours par les points positifs pour atténuer les critiques ; ) mais je fais l’inverse.
Question forme, le petit sac noir dans lequel on vous met vos achats est très élégant avec sa touche d’orange. Le marketing, toujours!!
Côté fond, les pirojki – petites brioches farcies – valent le détour, notamment ceux aux champignons, aux légumes et aux fruits rouges. Je n’ai pas aimé celui au foie et au sarrasin.
Pirojki salés
Quant aux pâtisseries, nerf de la guerre, je me suis consolée avec une Rose des Tsars au chocolat et une charlotka. Les deux étaient très bonnes, vraiment fines: une variation autour de la framboise et du chocolat noir pour la Rose, de la pomme pour la seconde…