A Madrid j’avais été frappée par la façon dont le musée Thyssen mettait en valeur ses produits culturels tels les cartes postales ou les catalogues d’exposition. Je m’étais alors fait la réflexion que les musées français avaient à apprendre de cet exemple.
Voyez plutôt:

Cette « variation » autour des impressionnistes m’a particulièrement plu. Certes il faut ensuite aller chercher ces cartes sur des étagères où elles attendent sagement d’être achetées, mais cet appel est plutôt sympathique.
De même la façon de disposer les catalogues m’a amusée.
J’ai trouvé cette disposition originale et bien pensée: on a davantage envie d’acheter quand on est séduit!
Enfin une petite vitrine pour terminer. Très classique, si ce n’est qu’elle se trouve à l’intérieur du musée, quand vous arrivez à un étage. C’est comme si à un étage du musée Guimet vous vous trouviez nez à nez avec des reproductions de Bouddha ou des étoles… Qu’on ne vienne pas me dire ensuite que le non marketing culturel est une conception latine!
