Giselle – Soirées des 27 juin et 9 juillet 2022: Dorothée Gilbert & Hugo Marchand vs Sae Eun Park & Paul Marque?

Archétype du ballet en blanc romantique, Giselle reste mon ballet préféré. Je l’ai vu à de nombreuses reprises, tant à l’Opéra de Paris que dans d’autres maisons et lorsque j’ai su que Dorothée Gilbert jouait le 27 juin, je me … Continuer de lire Giselle – Soirées des 27 juin et 9 juillet 2022: Dorothée Gilbert & Hugo Marchand vs Sae Eun Park & Paul Marque?

Soirée Nicolas le Riche: entre émotion et sensualité

Palais Garnier – Mercredi 9 juillet 2014 – Ballet de l’Opéra de Paris, avec la participation des élèves de l’école de danse Orchestre de l’Opéra national de Paris, direction musicale: Kevin Rhodes  Avec la participation exceptionnelle de Sylvie Guillem, Matthieu Chedid et Guillaume Gallienne Les Forains (entrée des forains) de Roland Petit; Le bal des cadets (solo du petit  tambour) de David Lichine; Raymonda (acte II, danse arabe) de Rudolf Noureev; L’après-midi d’un faune de Vaslav Nijinski; Le jeune homme et la mort de Roland Petit; Appartement (la Porte, pas de deux) de Mats Ek; Caligula (Incitatus et Caligula) de Nicolas Le Riche et … Continuer de lire Soirée Nicolas le Riche: entre émotion et sensualité

Première de la Sylphide à Garnier: aux sources du ballet en blanc

La Sylphide (1832) est souvent considérée comme un ballet fondateur de la danse française. Le livret d’Adolphe Nourrit intègre des éléments romantiques – dépaysement des brumes d’Ecosse, souffrance du héros et rêve d’un idéal inaccessible – la Sylphide – présence du fantastique ( la sorcière Madge) ce ballet introduit surtout le premier « acte blanc » de l’Histoire et Marie Taglioni danse sur pointes en tutu blanc vaporeux.  J’étais donc très impatiente samedi dernier de le découvrir, et  ce d’autant que Giselle, autre ballet romantique, est un de mes ballets préférés. Ai-je été déçue? Non, même si Mathieu Ganio s’est « réveillé » pendant … Continuer de lire Première de la Sylphide à Garnier: aux sources du ballet en blanc

L’anatomie de la sensation: une création sans réelle « patte personnelle »

N’ayant pas réussi à avoir des places pour la soirée d’ouverture des Etés de la danse je me suis tournée vers de la danse contemporaine, L’anatomie de la sensation de Wayne Mac Gregor, création pour l’Opéra de Paris inspirée des oeuvres de Francis Bacon.  Cinq étoiles étaient présentes hier, accompagnant le corps de ballet: Mathias Heymann et Jérémie Bélingard dont le duo apparaît comme un des fils rouges de la pièce, Marie-Agnès Gillot à la danse si gracile, Aurélie Dupont, aux apparitions trop furtives à mon goût et ce alors qu’elle revenait après une absence d’un an, et Dorothée Gilbert, peu vue également. Je ne suis pas adepte de ces chaires roses … Continuer de lire L’anatomie de la sensation: une création sans réelle « patte personnelle »