Karl Paquette (l’Homme), Isabelle Ciaravola (l’Ange), Eleonora Abbagnato (la Femme), Mathias Heymann (la Guerre) et Stéphane Bullion (l’Âme) Une certaine grâce et une grande poésie se dégageaient hier de l’œuvre de John Neumeier. Un chorégraphe avec lequel j’entretiens une relation ambivalente : j’adore sa Dame aux Camélias, déteste son Parsifal (cf. mon billet) et apprécie sa Mort à Venise à quelques détails près… Composé de 6 tableaux – Hier, Eté, Automne, Nuit, Ange et Ce que me conte l’amour – ce ballet alterne scènes de groupe et pas de deux, l’Homme (Karl Paquette) y étant toujours présent, véritable trait d’union du ballet, être en quête d’amour et de sens… Dans Hier, ode à … Continuer de lire Première de la 3° symphonie de G. Mahler de J. Neumeier : quand l’alliance de la musique et de la danse frôle la perfection…