Theodora de Haendel au « TCE » le 10 février : pour « l’amour » de Tim Mead…

J’ai beau être baroqueuse, Haendel provoque souvent chez moi un certain ennui: des œuvres certes belles mais qui ne me touchent pas et souvent très longues… S’il n’y avait pas eu le contretenor Tim Mead, je ne serai pas allée au théâtre des Champs Elysées ce lundi. The English Concert y donnait oratorio d’Haendel Theodora dans une salle au tiers vide… Tim Mead, cela fait des années que je lui « courais après »: découvert avec Les Arts florissants de W. Christie à la salle Pleyel en 2006-2007, entendu à plusieurs reprises dans ce même lieu, je l’avais perdu de vue depuis quelques années et me … Continuer de lire Theodora de Haendel au « TCE » le 10 février : pour « l’amour » de Tim Mead…

Première de Teshigawara/Brown/Kylián: une soirée passable sauvée par Doux mensonges…

J’ai horreur de critiquer vertement un ballet ou un opéra car je trouve cela trop facile comme posture. On vient, on regarde et on critique, oubliant le travail demandé aux artistes. Tout comme l’an dernier avec Sous apparence, création de Marie-Agnès Gillot (cf mon billet) cette soirée devrait entrer au Panthéon des plus mauvaises soirées de danse… en enlevant le dernier ballet Doux mensonges de Kylian… Et dire que je me suis farcie le livret pour essayer de comprendre Teshigawara et Brown que j’aime beaucoup au demeurant, cf mon billet sur son ballet lunaire O Zlozony / O composite. Darkness is hiding black … Continuer de lire Première de Teshigawara/Brown/Kylián: une soirée passable sauvée par Doux mensonges…