George Balanchine à Garnier: des ballets russes à « l’abstraction »
Que retenir de la Première, lundi, de la soirée consacrée à Balanchine? En dehors du défilé du ballet sur lequel je reviendrai, un point de logistique tout d’abord: il aurait été préférable de commencer par Le Fils Prodigue (1929) et de … Continuer de lire George Balanchine à Garnier: des ballets russes à « l’abstraction »