Le ballet Onéguine de Cranko, d’après un roman de Pouchkine est un des mes ballets préférés et depuis 2011 j’en parle régulièrement ici. Réflexion sur l’amour et le couple, sur la manipulation, son épaisseur tient en partie à l’interprétation des personnages. Et la distribution du 15 février avec Mathieu Ganio en Onéguine et Ludmila Pagliero
Étiquette : Myriam Ould-Braham Olga dans Onéguine
Ce n’est pas parce que deux petits êtres ont « envahi » ma vie depuis le 7 juin que je ne continue pas à suivre l’actualité culturelle. N’étant pas adepte de La fille mal gardée – ballet très frais et sympathique idéal pour l’été mais à l’intrigue trop mince à mon goût – je n’avais pas pris de
La Première d’Onéguine le 9 décembre m’avait charmée… Ayant eu de la chance, j’ai pu y retourner sur un coup de tête jeudi dernier. Connaissant le scénario, j’ai pu me concentrer davantage sur certains passages et m’apercevoir que j’avais oublié des scènes, comme la présence de ces personnes âgées au bal de Tatiana. Semblables à des figures de Goya,
Hier soir avait lieu à Garnier la reprise d’un ballet entré à l’Opéra de Paris le 16 avril 2009. Eugène Onéguine est d’abord un roman du grand poète russe Alexandre Pouchkine. Il est à cet égard prémonitoire du sort qui l’attend: Comme Lenski dans Onéguine, Pouchkine meurt jeune dans le duel qui l’oppose à l’officier français d’Antès,