Le Parc: un ballet inégal au final sublime…

J’étais allée voir ce ballet pour me réconcilier avec Preljocaj. Je n’avais en effet apprécié ni Noces ni Le sacre du printemps que j’avais trouvés violents notamment dans les rapports hommes femmes. Si je sais depuis que Preljocaj dénonce ainsi les violences faites aux femmes, je restais réservée. Le Parc ( 1994) commence de façon étrange dans un jardin minéral où 4 hommes aux lunettes d’aviateur évoluent sur une « création sonore » de Goran Vejvoda. Ce sont des jardiniers est-il écrit sur le programme. Ce leitmotiv m’a laissée perplexe. Leur récurrence, associée à la musique, casse l’alchimie créée par la musique de Mozart, … Continuer de lire Le Parc: un ballet inégal au final sublime…